Douala. La Ministre en charge des Postes et Télécommunications a fait le tour des infrastructures qui vont abriter la CAN Cameroun 2021, à 45 jours du démarrage, elle s’est dit satisfaite.

Ce lundi 22 novembre 2021, était jour de match pour Minette Libom Li Likeng à Douala. L’entraîneure en charge de la partie technologique de l’organisation de la CAN est venue se rassurer du niveau d’entraînement de ses équipiers, à 45 jours du démarrage effectif de la compétition. C’est dans un survêtement des Lions Indomptables que la Ministre a décidé de faire le tour des endroits stratégiques de son espace de compétence. Le tout nouveau et flambant neuf hôtel Krystal, le lieu qui va abriter l’institution Confédération Africaine de Football (CAF)  a été le premier stop de cette tournée. Ici, en compagnie du Directeur Général, la Minpostel est allée toucher du doigt les installations qui vont assurer les connexions internet de haut débit pour le jeu soit fluide au niveau des communications entrantes et sortantes : « je suis venue à Douala, suite aux Hautes Instructions de Monsieur le Premier Ministre. Il s’agissait pour moi, de m’assurer que tout ce qui relève du couloir que j’occupe au sein de l’équipe gouvernementale, est conforme aux normes édictées par la Confédération Africaine de Football. Et cela, en application des hautes directives du Chef du Gouvernement, et des Très Hautes Instructions du Président de la République ».

Le trois étoiles d’Onomo Hôtel, hissé en plein centre administratif au 1er arrondissement de la ville de Douala,  était le deuxième arrêt de la suite ministérielle. Cet établissement très sollicité par la CAF pour abriter les équipes qui évolueront dans la ville de Douala était aussi un coin important du stade que doit couvrir la ministre des postes et télécommunications : « Je me dois de rappeler ici que les télécommunications constituent un domaine particulièrement sensible pour l’organisation de la CAN Total Énergie 2021. De ce que j’ai vu, entendu, et expérimenté, je puis dire que notre pays, compte déjà une victoire, avant même la compétition athlétique proprement dite. Il s’agit d’une victoire technique et technologique ».

Stade de Japoma, en mode couverture totale

Le money-time de cette visite de la ministre, c’était le mythique stade de Japoma, qui sera très sollicité par les spectateurs et les hommes de médias. Ici, la Minpostel est allée rencontrer ses équipiers en charge de la partie la plus importante. L’entraineure en charge des télécommunications de cette CAN à venir, a pu s’assurer de l’effectivité des travaux et prestations réalisés, notamment : les travaux et prestations de raccordement à la fibre optique, la construction du pylône du Complexe Sportif de Japoma , le déploiement de la solution mutualisée indoor en vue de l’optimisation de la couverture réseau 2G/3G/4G des opérateurs à l’intérieur dudit complexe ; les prestations de fourniture et d’installation des équipements des espaces médias. Une visite après laquelle Minette Libom Li Likeng, en bonne entraîneure, s’est livrée : « Je rentre donc de Douala, satisfaite, rassurée et confiante. Je salue le dynamisme, et le patriotisme de tous les acteurs impliqués dans cette partie du vaste chantier qu’est l’organisation de cette CAN. A tous, j’ai prescrit un professionnalisme sans faille pour que notre pays tienne, en matière des prestations en lien avec les télécommunications, le haut du pavé. Nous savons tous à quel point le Président de la République tient à une organisation impeccable de cette CAN dont il est la Grand Artisan. Il est de notre devoir de nous assurer que les notes émises dans le secteur des télécommunications contribuent à la belle symphonie d’ensemble qui s’annonce. En la matière, la défaite est interdite ».

Avant le démarrage des hostilités sportives sur les pelouses par les 24 équipes qui feront le déplacement dans quelques semaines, il était important que le stade des télécommunications soit totalement maîtrisé par celle qui devra assurer la victoire des communications, pour ce qui est du stade de Japoma et des hôtels de la ville de Douala.

David Eyenguè