Open de tennis Papa Super et Bye Bye José. L’ancien Lion Indomptable de football s’est reconverti en joueur de tennis, et va participer à ce tournoi national à Douala.

 

La première partie du tournoi de tennis qui a mobilisé plus de 140 joueurs de tennis vétérans, a déjà livré les six finalistes dans les trois catégories. Chez les Hors-série, Stéphane Zeh du Happy Tennis Club  (HTC) de Douala sera aux prises avec son coéquipier du même club, Serges Kamdem. Les deux hommes ont respectivement pris le dessus sur Roméo Tekeu de Sawa Land Club de Bonamoussadi, et Kenneth Burinyuy qui vient de Bafoussam. Les deux joueurs qui se connaissent vont jouer en remake, une finale qui s’est déjà jouée dans le cadre du classement du HTC.

Dans la catégorie dite du premier âge (entre 45 et 55 ans), Kenneth Burinyuy de Bafoussam,  s’est qualifié au dépend de Tekam Augustin de Sawa Land. Dans l’autre demi-finale, Michel Silinou (HTC) a dominé Joseph Ndo du PAD pour se qualifié en finale.

Chez les joueurs âgés de plus de 56 ans (deuxième âge), André Tiente du tennis club de Yaoundé, s’est qualifié devant Kameni Rostand du club Plateau Joss de Douala. Emmanuel Tamtchom du même club (plateau Joss), a battu Jean Richard Mothe pour aller disputer la finale.

 

La deuxième partie de ce tournoi de tennis national est réservée aux joueurs de la catégorie des Séniors. Parmi les 58 joueurs messieurs dont les noms ont déjà été enregistrés par les organisateurs, figure en bonne place, le nom de Gérémi Sorel Njitap Fotso. L’ancien Joueur du Real Madrid s’est depuis sa retraite de footballeur, inscrit à une nouvelle discipline individuelle, le tennis. Le Lion Indomptable de football a profité de son excellente hygiène de vie, et de ses  forces  physique et mentale incroyables, pour intégrer rapidement le top 20 des joueurs nationaux. Il a d’abord été invité pour jouer un match de gala à l’ouverture du tournoi des séniors, mais il a aussi envoyé son inscription comme joueur du tournoi. Le tirage au sort des éliminatoires se fera ce vendredi 4 décembre 2020.

David Eyenguè