A la fin d’une épopée comme celle-ci, on ne peut être que content, fier, heureux d’avoir soulevé la coupe. Personne n’aurait misé pour Donlap au début de ce tournoi. Mais la réalité finale, c’est que c’est nous qui avons remporté. Et je crois que le public est convaincu que ce n’est pas le cou du sort, car nous sommes passés par plusieurs grandes étapes avec les équipes de Ligue 1 comme Stade Renard, Les Astres, Union de Douala, et maintenant c’est Bamboutos. Nous jouions sans complexe, un match après un autre. Nous avons eu une seule motivation quand nous nous sommes qualifiés en finale : nous voulions rentrer avec le trophée, et c’est chose faite maintenant.